mercredi 8 août 2007

Wonder Bras

Wonder Bras ! Non, non, je ne parle pas de la brassière de Dolly Parton qui ne sait plus à quels saints se dévouer pour supporter ses deux monts Everest. Devant cette tâche tétonnesque, il a fallu installer une armature métallique renforcée pour assumer un bon soutien. Je parle ici des bras d’acier étonnants et détonnants de Barry Bonds. Ce grand joueur de baise-balle (comment est sa Wonder Barre) au caractère flamboyant et au sourire charmant vient de battre le record d’Hank Caron pour le plus grand nombre de coups de circuit électrisants. Il a frappé son 756e.

Malheureusement, l’exploit de cet enfant de… la balle est entâché par les allégations qui laisseraient croire qu’il aurait fait usage de stéréoïdes anoblissants (c’est pas noble de lancer de tels propos). Il doit y avoir des jaloux dans la salle pour prétendre de telles choses. L’explication est plus simple et je vous la livre : Le lanceur est au monticule, il reçoit les signaux du receveur. Non, non, oui. Il fait sa motion et pitche la tite baballe blanche en direction du frappeur (le mot-clé). La balle ainsi propulsée à une vitesse pouvant aller jusqu’à 100 milles à l’heure fonce, remplie de confiance en elle, vers un monsieur armé d’un gros bâton. Quand elle voit la figure courroucée et la mine patibulaire du détenteur de ce gros batte, ça fra peur (le mot-clé) à n’importe qui. Alors pauvre petite ! elle se sauve le plus loin possible du gros méchant qui veut lui botter le c… et elle saute la clôture. « Bonsoir elle est partie ! », comme le dit le petit. Pas plus compliqué que ça !

A savoir si son exploit à la même valeur que celui de Hank Aaron, laissons le débat aux géants des strades.
Pour commentaires, opinions, requêtes, critiques, chialage, demandes spéciales et autres balivernes : eiffel50@oricom.ca

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