jeudi 24 janvier 2008

La soupe est au rendez-vous

Pour rompre la glace qui nous dégouline au bout du nez, une autre succulente soupe mijotée de main de maestro

La soupe du jour – Soupe aux délices rouges

En février 1987, un évènement sportif se produisit au Colisée de Québec : Rendez-Vous 87. Cet évènement remplaçait la partie des étoiles que la LNH présente à chaque année vers la mi-saison de hockey, ok? Naturellement le tout était sous l’égide d’un gros canon, Marcel Aubut, secondé par un personnage tout aussi explosif, Badaboum.

Rendez-vous '87 était une série de deux matchs de hockey entre une équipe russe et une autre constituée de joueurs de Ligue nationale de hockey. L’équipe nord-américaine gagna la première partie, 4-3 avant de s’incliner 5-3 dans la deuxième. Les profits générés était destinés aux maisons pour sans-abri : celle de Lauberivière de Québec et celle du Père de Montréal.

Pour la circonstance, on eut la brillante idée de créer une chanson-thème qui fut interprétée par Martine St-Clair : « Viendrez-vous à mon rendez-vous? ». Le paquet fut mis pour la production de ce disque. Musique cucul de David Foster, paroles débiles de Jean-Pierre Ferland (à lire ci-dessous), « backing vocals » par un Chœur de l’Armée Rouge, incompréhensible, le tout enterré par la musique de l’Orchestre Symphonique de Québec.

Martine St-Clair avec l’OSM et le Chœur de l’Armée Rouge – Viendrez-vous à mon rendez-vous?

Voici les paroles de cette chanson de Jean-Pierre Ferland, permettez-moi de vous le rappeler.

Le beau ciel,
Le beau bleu,
Bleu jusqu’à la fin du monde.
Comme c’est grand le firmament,
Il en a des amants l’univers

Je l’attends
Tous les jours
Pour l’amour du firmament.
C’est pour quand, à quelle heure
La Volga dans la Baie des Chaleurs.

Quand, quand viendrez-vos à mon rendez-vous?
Quand, c’est pas la paix c’est la vie qu’on joue.
La vie des autres après nous.

L’étourneau,
L’hirondelle,
Toi Tchaikovski.
On comprend
Quand on veut.
Les vrais mots
Viennent du fond des yeux

Le beau ciel,
Le beau bleu,
Bleu jusqu’à la fin du monde.
Comme c’est grand le firmament,
Il en a des amants l’univers

Quand, quand viendrez-vos à mon rendez-vous?
Quand, c’est pas la paix c’est la vie qu’on joue.
La vie des autres après nous.

Quand, (viendrez-vos à mon rendez-vous?)
C’est pas la paix, c’est la vie qu’on joue.
(On comprend quand on veut)
Quand (ça vient du fond des yeux)
C’est pas la paix, c’est la vie qu’on joue.
Viendrez-vous au rendez-vous?
Pour l’amour du firmament,
Je vous attendss.

Pour commentaires, opinions, requêtes, critiques, chialage, demandes spéciales et autres balivernes : eiffel50@oricom.ca

1 commentaire:

Paul Colley a dit...

Bonjour. Vous etes le roi des blogs. Est-ce possible de re-upload James Dewar - Stumbledown Romancer, svp.

Excusez le franglais!

A bas MacDonalds.

Allez!

Paul in the hole
(Bradford UK)