Connaissez-vous le frère de l’autre? Le frère de l’autre pourrait être jaloux de l’autre. Comme Cain et Abel. Le frère de l’autre voudrait bien connaître le succès, la gloire, la notoriété, la reconnaissance, l’adulation, l’idolâtrie, la réussite, le triomphe, la célébrité, la renommée, la popularité, le culte, la vénération, le respect, la ferveur, l’amour et le pot aux roses… non, l’apothéose totale en lieu et place de ce bien cher frère.
Mike McGear, vous connaissez? Membre du groupe anglais : The Scaffold. En spectacle, les Scaffold mélangeaient chansons et sketches comiques ainsi que de la poésie. Quelques-unes de leurs chansons connurent le succès en Angleterre. « Thank U Very Much » grimpa à la 7e positition du palmarès britannique en 1967. Ce fut leur seule chanson à atteindre le Billboard (une enviable 67e place). En 1968, « Lily The Pink» fit encore mieux chez les buveurs de thé avec la première position, mais totalement ignorée chez Teton Sam. Mais pas au Québec. En1969, un certain Yves Lemieux en fit une version très piquée des vers intitulée « Monsieur Bong Bong». J’ai capturé la trame audio de cette pièce sur une vidéo qu’on retrouve sur YouTube que je vous invite à visionner.
Mike McGear a pondu deux disques solos après avoir quitté les Scaffold, avant de réorienter sa carrière vers la photographie. J’ai un de ces disques sur vinyle.
Mike McGear – Leave It
Mike McGear – Givin’ Grease A Ride
Le grand frère de Mike, qui lui a connu une carrière une peu plus glorieuse, participe à ce disque comme musicien, choriste et à l’écriture de certaines pièces. Mike ne voulant pas profiter de la notorité de son frangin avait choisi le nom de McGear plutôt que garder celui de… McCartney. Ce nom vous rappelle quelqu’un?
J’ai un autre frère de l’autre qui lui aussi ne semble pas avoir voulu se faire remorquer par la grosse machine de son frère. Il s’appelle Chris et il pourrait être en cr… envers ce grand frère qui après plus de 45 ans roule toujours sa bosse sur les scènes des plus grands stades de la planète pour faire le bonheur de ses fans et ses femmes. Le petit frère a gravé un premier disque en 1973 (j’ai le vinyle) et même s’il est passé complétement dans le beurre à tartiner auprès des mélomanes, les critiques lui donnent une note de 8 sur 10, tandis que d’autres prétendent qu’il est meilleur que tout ce que le groupe de son vieux frère a produit dans les années 70. Rien de mouins mouman!
Après l’échec de son deuxième opus, le jeune frérot emprunta une autre tangente. Éclairagiste d’abord, membre d’une troupe de théâtre, il participa également à la production d’une version de « Hair » et travailla à la réalisation d’un film, qui ne vit jamais le jour, dans lequel on devait raconter les déboires de sa carrière. Il fut designer de mode, ce qui lui permit d’habiller certaines vedettes rock. Au travers de ces activités, il cotoie quand même le monde de la musique en travaillant au studio mobile des Rolling Stones, il participe même à l’enregistrement de deux disques des Stones : « Dirty Works » et « Steel Wheels »
Après un iota de 20 ans dans sa carrière solo, il refait surface en 1994 et sort son 3e disque orienté vers la musique zydeco : « Atcha ». Il s’entoure de musiciens ayant un bon « background » musical. Ce disque ne connaît, lui aussi, qu’un succès d’estime (il devait être en esti…). J’ai trouvé quelques extraits seulement du disque sur le Net. Trois autres disques sont mis sur le marché par la suite jusqu’en 2006. Le groupe donne des spectacles régulièrement dans la verte Albion jusqu’à aujourd’hui.
Le dernier disque « Act Of Faith » est à découvrir. Heureux mélange de zydeco et de blues, il y chante même une pièce en duo avec son célèbre frère, Mick… Jagger. Mick est même allé le rejoindre sur scène en 2007. Ce moment historique se retrouve sur YouTube dans un extrait vidéo de mauvaise qualité.
Chris Jagger – (1973) Handful of Dust
Chirs Jagger – (1973) My Friend John
Chris Jagger – (1973) Joy Of The Ride
Chris Jagger – (1994) Medley
Mike McGear, vous connaissez? Membre du groupe anglais : The Scaffold. En spectacle, les Scaffold mélangeaient chansons et sketches comiques ainsi que de la poésie. Quelques-unes de leurs chansons connurent le succès en Angleterre. « Thank U Very Much » grimpa à la 7e positition du palmarès britannique en 1967. Ce fut leur seule chanson à atteindre le Billboard (une enviable 67e place). En 1968, « Lily The Pink» fit encore mieux chez les buveurs de thé avec la première position, mais totalement ignorée chez Teton Sam. Mais pas au Québec. En1969, un certain Yves Lemieux en fit une version très piquée des vers intitulée « Monsieur Bong Bong». J’ai capturé la trame audio de cette pièce sur une vidéo qu’on retrouve sur YouTube que je vous invite à visionner.
Mike McGear a pondu deux disques solos après avoir quitté les Scaffold, avant de réorienter sa carrière vers la photographie. J’ai un de ces disques sur vinyle.
Mike McGear – Leave It
Mike McGear – Givin’ Grease A Ride
Le grand frère de Mike, qui lui a connu une carrière une peu plus glorieuse, participe à ce disque comme musicien, choriste et à l’écriture de certaines pièces. Mike ne voulant pas profiter de la notorité de son frangin avait choisi le nom de McGear plutôt que garder celui de… McCartney. Ce nom vous rappelle quelqu’un?
J’ai un autre frère de l’autre qui lui aussi ne semble pas avoir voulu se faire remorquer par la grosse machine de son frère. Il s’appelle Chris et il pourrait être en cr… envers ce grand frère qui après plus de 45 ans roule toujours sa bosse sur les scènes des plus grands stades de la planète pour faire le bonheur de ses fans et ses femmes. Le petit frère a gravé un premier disque en 1973 (j’ai le vinyle) et même s’il est passé complétement dans le beurre à tartiner auprès des mélomanes, les critiques lui donnent une note de 8 sur 10, tandis que d’autres prétendent qu’il est meilleur que tout ce que le groupe de son vieux frère a produit dans les années 70. Rien de mouins mouman!
Après l’échec de son deuxième opus, le jeune frérot emprunta une autre tangente. Éclairagiste d’abord, membre d’une troupe de théâtre, il participa également à la production d’une version de « Hair » et travailla à la réalisation d’un film, qui ne vit jamais le jour, dans lequel on devait raconter les déboires de sa carrière. Il fut designer de mode, ce qui lui permit d’habiller certaines vedettes rock. Au travers de ces activités, il cotoie quand même le monde de la musique en travaillant au studio mobile des Rolling Stones, il participe même à l’enregistrement de deux disques des Stones : « Dirty Works » et « Steel Wheels »
Après un iota de 20 ans dans sa carrière solo, il refait surface en 1994 et sort son 3e disque orienté vers la musique zydeco : « Atcha ». Il s’entoure de musiciens ayant un bon « background » musical. Ce disque ne connaît, lui aussi, qu’un succès d’estime (il devait être en esti…). J’ai trouvé quelques extraits seulement du disque sur le Net. Trois autres disques sont mis sur le marché par la suite jusqu’en 2006. Le groupe donne des spectacles régulièrement dans la verte Albion jusqu’à aujourd’hui.
Le dernier disque « Act Of Faith » est à découvrir. Heureux mélange de zydeco et de blues, il y chante même une pièce en duo avec son célèbre frère, Mick… Jagger. Mick est même allé le rejoindre sur scène en 2007. Ce moment historique se retrouve sur YouTube dans un extrait vidéo de mauvaise qualité.
Chris Jagger – (1973) Handful of Dust
Chirs Jagger – (1973) My Friend John
Chris Jagger – (1973) Joy Of The Ride
Chris Jagger – (1994) Medley
Chris Jagger’s Atcha - (2006) Cream Of My Coffee
Chris Jagger’s Atcha – (2006) Junkman
Chris Jagger’s Atcha – DJ Blues (avec Mick) (2006)
Fascinantes ces histoires de famille!
Pour commentaires, opinions, requêtes, critiques, chialage, demandes spéciales et autres balivernes : eiffel50@oricom.ca
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