vendredi 29 décembre 2006

Trames sonores (3e partie)

La semaine dernière, TVA a mis à l’affiche le film « Vrai Mensonge » pour la nième fois. Dans ce film, il a une séquence où Jamie Lee Curtis offre son corps à la danse. What a body! Comme Arnold, j’en ai perdu ma manette. Ici encore, ma curiosité fut piquée (ayoye) par la pièce musicale soutenant ces sensuelles images. Après recherche, je découvris que le morceau était de John Hiatt et s’intitulait « Alone In The Dark ». Drôle de hasard, pendant que je rédige ce message, Radio-Canada passe une petite comédie couçi-couça avec Jamie Lee Curtis.


Mp3 (John Hiatt – Alone In The Dark)
http://www.mediafire.com/?5mdqy32ed1n

Séquence vidéo
http://www.youtube.com/watch?v=UekZ1hDmxgs

Les trames sonores ne sont pas uniquement des compléments au cinéma, certaines appuient parfois des émissions télé. Parmi celles-ci, il y a en a une qui obtient un grand succès sur le canal Disney : « Hannah Montana ». Je ne sais rien de cette série si ce n’est qu’une trame sonore en a résulté et elle se maintient au top 10 des disques les plus vendus aux U.S.A.

Un évènement s’est produit à la suite de la sortie de ce disque. Évènement que seuls les Beatles revendiquaient jusqu’à ce jour. 9 pièces de ce disque se sont retrouvées simultanément dans Hot 100 du Billboard. Contrairement aux Beatles, aucune des pièces n’a atteint le sommet du palmarès.

La vedette de cette émission est une jeune fille qui a de qui tenir, elle s’appelle Miley et elle est la fille d’une étoile filante de la music country américaine : Billy Ray Cyrus, créateur de « Achy Breaky Heart ». Figurez-vous que papa Billy joue également dans cette série.


Mp3 (Miley Cyrus – This Is The Life)
http://www.mediafire.com/?fztdjmymgdz


Séquence vidéo (Hannah Montana (Miley Cyrus) - Who Said)
http://www.youtube.com/watch?v=XJk5hxVb8ks

Je concluerai ce volet en vous parlant de trames sonores de livre. Dans divers romans, l’auteur décrit parfois une situation où un personnage écoute de la musique. Il y a quelques temps, j’ai lu un roman de Patricia Highsmith, « Carol ». L’action se déroule dans les années 50. Dans un paragraphe, elle décrit que l’héroïne écoute une pièce intitulée « Easy Living » sur son phonographe. Curieux comme je suis, j’ai fait une recherche sur cette pièce dans LimeWire. Sans aboutir à ce morceau spécifiquement, je suis tombé sur le nom le nom de Johnny Hartman. C’était un chanteur de jazz à la voix suave dont la carrière s’échelonne des années 40 aux années 80.

Mp3 (Johnny Hartman – In The Wee Small Hours)
http://www.mediafire.com/?8n4m11tx0nn

Courte biographie sur Allmusic
http://www.allmusic.com/cg/amg.dll?p=amg&sql=11:5ku67u50h0jj~T1

Proverbe:
Si la montagne ne vient pas à toi, va à la montange.
Si la montagne vient à toi, tasse-toé !

mercredi 27 décembre 2006

Trames sonores (2e partie)

Question : Quel était le vrai nom de l’acteur Walter Matthau? Réponse à la fin de ce message.

Dans mon local se trouve un vieux poste de télévision Mitsubishi acheté il y a une trentaine d’années chez Atlantic et il fonctionne toujours à merveille. Même si je m’active ici une bonne partie de la journée, le téléviseur reste fermé toute la journée. Par contre, quand je m’installe devant mon ordi vers 20h00, je m’autorise à l’ouvrir. Je l’écoute d’une oreille plutôt distraite, et parfois je me retourne pour regarder pour suivre le déroulement d'une émission.

Il y a deux ou trois ans, TVA ou Radio-Canada, peu importe, diffusa un petit film, « Still Crazy » qui attira mon attention. L’histoire se résume ainsi. Un groupe, Strange Fruit, séparé depuis une vingtaine d’années, tente de se reformer pour retrouver la gloire d’antan. 4 des 5 membres originaux embarquent dans l’aventure à l’exception du guitariste soliste qui a fait un Syd Barrett de lui-même (Syd a sûrement servi de modèle pour ce rôle). Nous suivons donc les hauts et les bas de ces retrouvailles. Le film est intéressant par son réalisme et bien interprété par les acteurs dont certains sont de véritables musiciens. Vers la fin du film, ils ont reconquis leur public et lors d’un méga-concert qui confirme leur retour au sommet, leur ancien guitariste les rejoint sur scène pour la pièce finale. Et c'est le pot à dose!

La pièce était une ballade rock qui éveilla mon intérêt à un point tel que je fis une recherche dans Kazaa. Même si le nom de « Strange Fruit » était un nom de groupe ficitif, je le tapai dans ma requête. Quelques instants plus tard, j’eus une réponse positive. Je téléchargai la pièce « The Flame Still Burns » par Strange Fruit. Dès les premières notes je reconnus la chanson du film.

Mp3 (Strange Fruit – The Flame Still Burns)
http://www.mediafire.com/?5y2gjxjmjo5

Séquence vidéo
http://www.youtube.com/watch?v=Mq0xlei1YGk

Dans le film, le rôle du bassiste est tenu par Jimmy Nail. Je possède un vinyle de cet artiste, voici un pièce de ce disque.




Mp3 (Jimmy Nail - Love Don't Live Here Anymore)
http://www.mediafire.com/?9zqzn21maz2










Le vrai nom de Walter Matthau est : Walter Matuschanskayasky. Pour votre punition, à répéter 10 fois sans cafouiller.

3e partie à venir

mardi 26 décembre 2006

Trames sonores (1ère partie)

Tout film qui se respecte est soutenu par une trame sonore. Nous n’avons qu’à penser à la scène de la douche de « Psychose » d’Alfred Hitchcock. Presque toujours, on retrouve la musique de ces films sur disque. Certaines de ces trames sonores (soundtrack) connaissent plus de popularité que les films où on peut les entendre. Généralement nous n’entendons qu’un extrait plus ou moins long des pièces originales, que nous pouvons alors apprécier dans leur intégralité sur disque.

Parfois, la pièce musicale fait partie intégrante de l’action du film. Pour illustrer ce propos je cite en exemple la chanson « Singing In The Rain » du film « An American In Paris », véritable pièce d’anthologie du cinéma. C’est la séquence où nous voyons Gene Kelly chantant et dansant sous une pluie battante.

Visionner la séquence vidéo sur YouTube
http://www.youtube.com/watch?v=mzfMRkiPU1c

Mp3 (Gene Kelly – Singing In The Rain)
http://www.mediafire.com/?3myl0mmciyz





Deux pièces du film « Back To The Future I» retiennent mon attention. D’abord « Power Of Love » de Huey Lewis & The News, tout simplement parce qu’elle m’accroche.

Mp3 (Huey Lewis & The News – Power Of Love)
http://www.mediafire.com/?3nzmhnm1qmm

La seconde est l’interprétation de « Johnny B. Goode » par Marty McFly (Michael J. Fox), pour l’énergie qu’elle dégage, dans la séquence du bal. Malgré le réalisme du solo de guitare ce n’est pas Michael J. Fox que nous entendons réellement, mais plutôt un certain Tim May pour la guitare solo et Mark Campbell pour la voix.

Visionner la séquence vidéo sur YouTube
http://www.youtube.com/watch?v=01aN4AEB6GE

Mp3 (Marty McFly (Michael J. Fox) – Johnny B. Goode)
http://www.mediafire.com/?7n1gdyyqd2u


(2e partie à suivre)

lundi 25 décembre 2006

James Brown

Excusez mon retard. C’est vrai c’est Noël. Joyeux Noël! Nous avons eu un p’tit Noël plutôt mollo. Voilà pour Noël.

Un évènement tragique chambarde ma chronique prévue initialement et frappe de stupeur (sortons nos grands mots) le monde de la musique aujourd’hui : la mort de James Brown fait la manchette partout dans le monde si on se fie aux bulletins de nouvelles. Observons une minute de musique en mémoire du Parrain du Soul. James Brown fut un chanteur prolifique, précurseur du soul. Une carrière bien remplie, parsemée d’évènements malheureux avec la justice. Comme faire sa biographie et énumérer sa discographie pourrait s’étirer jusqu’à l’an prochain, consultez Wikipedia ou encore Allmusic.com pour en savoir plus sur sa trépidante vie.

Que choisir parmi sa volumineuse discographie afin d’illustrer l’étendue de son succès qui s’échelonne de 1959 à aujourd’hui? Je retiens sa dernière pièce à grimper au top 10 du Billboard américain, « Living in America » qui culmina en 4e position en 1985. C’est sans doute grâce à sa figuration dans le film « Rocky IV » si cette pièce put atteindre un tel sommet. Sa dernière apparition dans la Bible de la musique américaine remontait à 1977 alors que « Body Heat » ne put faire mieux qu’une 88e position.

Mp3 (James Brown – Living In America)
http://www.mediafire.com/?6nqndzznyqy

Rest In Peace (Reste en pièce) James.

samedi 23 décembre 2006

Bel Canto Kelton

Cette nuit entre deux périodes de sommeil, une question m’a traversé l’esprit : Peut-on mesurer en gigs la capacité d’un cerveau humain?

Mon histoire de la musique est en stand-by bye. Le sujet est trop vaste. Plus je me documente, plus la somme de travail s’amplifie. Alors je fais une pause. Je continue là où le vent m’entraîne.

Tiens comme ça. Hier après être passé saluer mes ex-confrères et consoeurs de bureau pour leur souhaiter de Joyeuses Fêtes, je me suis rendu chez Electromike pour acheter des boîtiers de cd vides. Tout à côté se trouve le magasin « Retro-Laser ». Je suis allé faire un tour. Le propriétaire de ce magasin est le beau-frère d’une femme avec qui j’ai travaillée en étroite collaboration pendant plusieurs années jusqu’à ma retraite.

Je suis ressorti avec deux cd. Une compil de 3 groupes français des années 60 (Les Kelton, les Pollux et les Challengers), j’avais oublié que parmi ma « musicothèque », j’avais déjà 18 des 20 pièces incluses dans ce cd. J’en retiens une qui est une version (moyenne, trrrrès moyenne) de « When I Get Home », du plus grand groupe de tous les temps et je ne les nomme pas : les Beatles. « Oui, Je Reviens » ça s’appelle en français.


Mp3 (Les Kelton – Oui, je reviens)
Et comme j’aime encouragé la relève québécoise, je me suis procuré aussi une compil d’un des meilleurs groupes québécois de cette période : Les Bel Canto, même si je possède deux de leurs vinyles. Mon premier achat de 45 tours fut : « Je ne te crois plus, face A et A toi pour toi, face B» des Bel Canto, en 1965, alors que j’étais étudiant dans un pensionnat à Rivière-du-Loup, le Foyer Patro.

En écoutant cette compil, je considère que les Bel Canto furent nos Beatles. Au début, ils firent beaucoup de « covers » et graduellement imposèrent leurs compositions. Ils ont touché à tous les genres : country, ballade, rock, humoristique, psychédélique. Tous les membres du groupe pouvaient chanter en solo et ils avaient de belles harmonies vocales.

J’ai même eu l’occasion de les voir en spectacle cette année-là. Annexé à notre pensionnat, il y avait un gymnase qui appartenait à la ville, et les fins de semaine il y avait des soirées dansantes et parfois des spectacles d’organisés. Les pensionnaires avaient le droit d’assister aux activités se déroulant au gymnase.

Les Bel Canto - Je ne te crois plus

jeudi 21 décembre 2006

Le rock'n'roll du samedi soir

Poursuivons un peu dans la veine rock’n’rollienne. 1955, année que nous pourrions qualifier de première année du rock & roll. Petit détour dans notre belle province. Le Québec suivit le nouveau courant (électrisés que nous fûmes par ce rythme endiablé).

« Le Rock & Roll du Samedi Soir ». Ce serait la première chanson de rock purement québécoise, affirmation faite dans le livret qui accompagne les 3 cd de la compilation « Le Québec en 100 chansons de 1900-1960 ». Elle est du trio « Les Trois Clefs », groupe formé au début des années 50 et composé d’Yvan Landry, piano et vibraphone, Fernand Blouin, batterie, guitare et voix et Gaston Charron, contrebasse. C’est le peu d’informations que j’ai sur ce groupe. Cette compilation a été achetée chez RetroLaser, magasin spécialisé dans la musique rétro, situé au 1375, boul. Charest Ouest à Québec (publicité gratuite).

Je possède même un vieux vinyle de ce groupe « Les Belles de Chez-Nous ». Toutes les pièces du disque sont des prénoms de filles. Sans être critique, c’est pas un chef-d’oeuvre . « Marilou » sort un peu du lot. J’ai travaillé fort pour enlever le plus de « scratches » et de « clics ». Remontons dans le temps.


Mp3 (Le Rock du Samedi Soir)

http://www.mediafire.com/?9mu4mkq2mkt

Mp3 (Marilou)

mercredi 20 décembre 2006

Rock Around The Clock

Dans MON blog, je peux me permettre de faire du coque à l’âme, passez-moi l’expresso!

Contrairement à ce qu’on pourrait croire (moi inclus), ce n’est pas « Rock Around The Clock » qui a mis Bill Haley sur la carte. Bill et son groupe connurent le succès avec quelques unes de leurs chansons dès 1953, entre autre, avec « Crazy, Man, Crazy » (12e position au Billboard) et surtout avec « Shake, Rattle And Roll » (7e position). « Rock Around The Clock » (1er position en 1955) les propulsa au firmament du vedettariat et leur permit d’atteindre le nirvana suprême : le Temple de la Renommée du Rock & Roll.

Cette pièce fut écrite par Max C. Freedman et James E. Myers (est-ce vraiment important?) en 1952. C’est à la suite du succès de « Crazy, Man, Crazy » que Freedman et Myers la proposèrent à Bill Haley. Elle aurait été écrite spécifiquement pour lui. Pour différentes raisons, il ne put l’enregistrer immédiatement. Elle se retrouva quand même sur un disque du groupe « Sonny Dae & The Knights » . Cette version passa à côté du succès.

Au départ, la version de Bill Haley n’était aucument vouée au succès elle aussi puisque qu’elle figurait sur la face B du 45 tours « Thirteen Women (And Only A Man In Town » qui ne réussit même pas à se classer sur le Billboard.

Comment cette chanson (vendue entre 25 ou 35 millions de copies) a-t-elle pu devenir un tel succès ensuite?

Attention! Y a un punch ici. Ce serait grâce au fils d’un québécois. Je vous étonne hein? Ce québécois de Sainte-Christine-d’Auvergne, il s’agit de l’acteur Glenn Ford, natif de ce village de la région de Portneuf. Il tournait le film « Backboard Jungle » et les producteurs désiraient une pièce musicale qui correspondait au goût des ados de l’époque. Le fils de Glenn Ford, Peter, possèdait la version de Bill Haley de « Rock Around The Clock » et on peut supposer qu’il apprit ce que cherchaient les producteurs par son père et on connaît la suite.


Mp3 (version Sonny Dae & The Knights

http://www.mediafire.com/?dmdmumtwitm










Mp3 (version Bill Haley & His Comets)
http://www.mediafire.com/?8zman1wnzam

Si la pièce « Rock Around The Clock » de Bill Haley est considérée comme étant la première chanson rock’n’roll, certains experts pensent plutôt que « Rocket 88 », enregistrée en 1951 par un certain Jackie Brenston reprise elle-même encore une fois par Bill Haley, mais avec The Saddlemen cette fois, quelques mois après la version de Brenston devrait, elle, être considérée comme la première pièce rock'n'roll. La version de Haley connut un succès, qualifié de régional, mais pava quand même la voie à ce qui allait devenir son style musical.

Histoire de la musique (suite)

Revenons à l’histoire de la musique. Qui fut la première personne à chanter depuis la création de l’Univers? Un jour, l’homme apparut sur terre. Selon la Bible, les premiers humains furent Adam et Ève. J’espère que vous vous souvenez de votre Ancien Testament. Ève fut sans doute cette personne. N’est-ce pas elle qui CHANTA la pomme à Adam pour le convaincre de croquer dedans.

Les personnes cultivées savent, elles, que si nous nous fions aux lois de l’évolution, l’histoire fut fort différente. Je ne me lancerai pas dans ce créneau, je m’y connaît guère plus dans l’évolution de l’homme que celle de la musique. En un mot comme en mille, j’ignore qui fut celui ou celle qui poussa la première chansonnette ou composa la première pièce musicale digne de nom.

Sachez que même dans ces temps immémoriaux, il exitait un moyen d’enregistrement. Surprenant! Le seul problème, c’est que le procédé s’autodétruisait en quelques secondes comme le message de « Mission Impossible ». Ce moyen était l’écho. Farce à porc!

Aboutissons! Je suppose qu’un jour quelqu’un réussit à fredonner un air quelquoncque qui fut répété par un autre et un autre. C’était une manière d’enregistrement. C’est sûr qu’il y devait y avoir des petites variations à chaque transmission, pensons au téléphone arabe. Les premiers instruments musicaux ont dûs apparaîte en même temps.

Prenez connaissance du texte suivant pris dans « La Petite Histoire de la Musique ». Voir :
http://www.ecoles.cfwb.be/argattidegamond/cartable%20musical/Mon%20cartable%20musical%20histoire.htm

« Il n'y a pas de société sans musique. Depuis que l'homme est homme il fabrique des sons. La Chine est un des premiers pays qui a bénéficié d'une musique instrumentale structurée et qui perdure d'ailleurs encore aujourd'hui. Les découvertes faites dans la tombe du marquis Yi de Zheng, inhumé en 433 avant J.C., en sont la parfaite illustration.

Il faut remonter à l'Antiquité avec la civilisation grecque pour avoir les premières musiques écrites. La première partition retrouvée est celle d'Euripide datée de 407 avant J.C.

Mais déjà les hommes de la Préhistoire, profitant des qualités acoustiques des grottes, produisaient des sons lors des cérémonies chamaniques, parfois à l'aide d'instruments, de concrétions . »

Voilà une réponse qui nous indique l’origine de la musique. Il y en aurait sans doute beaucoup plus à dire, mais il faut que j’avance un peu plus vite, sinon nous serons encore ici dans 10 ans.

De la préhistoire à aujourd’hui, la musique évolua pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Jusqu’à la fin de 19e siècle on ne put conserver l’interprétation des ces chanteurs et musiciens. C’est vers cette période qu’apparut les premiers appareils à enregistrer les sons.

On s’en reparle!

mardi 19 décembre 2006

Retour sur Love Stealer

Je serai bref, court et (cir)concis! L'interprète de « Love Stealer » s’appelle Ian Lloyd, ex-chanteur du groupe The Stories qui connut un seul et unique succès en 1973 avec la chanson "Brother Louie" qui atteignit même la position numéro 1 du Billboard.

C’tu assez bref? Je ferai mieux la prochaine fois.

lundi 18 décembre 2006

Petit lundi matin

De retour de ma marche matinale quotidienne avec mon chien Bonhomme. Après lui avoir remis son biscuit, je descends dans ma caverne d’Ali Baba. Une autre journée de travail commence pour moi. Je vous décris une journée typique de Eiffel.

Je démarre l’ordi. J’ouvre mon logiciel WaveLab avec lequel je transfère mes vinyles dans mon ordinateur. Je mets en marche mon vieux mixeur Radio Shack (qui me sert de préampli). Comme mon PC se trouve à plus de 10 pieds (3 mètres) de celui-ci, j’ai fait courir un long fil au plafond qui est branché sur ma carte de son. Je me sers d’une vieille table tournante Thorens, modèle TD 165. Je l’ai depuis au moins 30 ans, je l’ai découverte dans le grenier d’un maison ancestrale qu’un de mes frères possédait dans le temps à St-Irénée. Je ne sais pour quelle raison elle était remisée là. Elle était dans sa boîte d’origine dont un coin était rongé par les rats. Il croyait qu’elle fonctionnait toujours. Revenu à Québec, je l’ai confié aux techniciens d’Audiolight, magasin qui existe toujours d’ailleurs. Pour 250,00$, ils la vérifièrent, refirent le filage et me posèrent une bonne cartouche. Depuis ce temps, tout ce que j’ai eu à changer ce sont les cartouches.

Pendant que je transfère mes vinyles dans mon PC, je m’installe dans la salle familiale du sous-sol pour lire tout en écoutant mes cd mp3. Dans le moment, je lis surtout des romans, présentemment je lis « Tout est fatal » de Stephen King. La lecture est ma deuxième passion, comme pour mes mp3 je suis très en retard dans mes lectures, j’ai environ 200 livres en attente et une trentaine de cd mp3 (11 heures chacun). J’essaie d’écouter au moins une fois chaque cd.

On continue. Je me suis muni d’un chronomètre, car avant d’enregistrer mon disque, je calcule approximativement sa durée que je programme sur le chronomètre, quand le bip-bip se fait entendre, je fais une pose sur mon lecteur cd, je retourne dans ma salle de musique. Règle générale il reste encore un peu de temps avant que la face du vinyle se termine. Alors je remonte le bras, je vais à l’ordi, j’arrête WaveLab, je sauvegarde la face 1 du vinyle. Je reprend le vinyle, je le retourne, je recalcule la durée et on recommence. À chaque jour, je transfère entre 5, 6 ou 7 vinyles.

Parfois, je fais autre chose : popote, ménage, petits travaux, mais dès que le bip-bip retentit, j’arrête tout. Le même maneige se poursuit jusqu’au déjeuner (pour les français) ou dîner (pour le Québec). Je continue quand même tout en mangeant, j’arrête seulement quand la vaisselle est lavée.

Retour dans mon antre. Durant l’après-midi, je me réinstalle devant mon PC. Je navigue un peu sur le Web, je mets à jour mon Billboard (je vous expliquerai en détails une autre fois). Je classe, identifie, trimme des mp3, je peux me graver des cd d’artistes que je préfère pour écouter dans mon auto. Je fais sans doute ce que beaucoup d’entre vous faites. Nous gambadons dans les champs de fraises du Web et parfois nous faisons de belles découvertes, alors nous cueuillons les petits fruits et ensuite on se cuisine de bonnes petites tartes. Je ne vous ferez pas de dessins je n’ai aucun talent pour la peinture.

Je peux me permettre une petite sieste, régulièrement je tombe dans les bras de Morphée. Je me couche trop tard, rarement avant minuit et je me lève toujours vers 7 heures. À chaque jour, je vais reconduire ma femme à son travail. Elle pourrait prendre sa retraite aussi mais elle se considère encore trop jeune. C’est son choix et je le respecte. Je vais ensuite la chercher à 16h00.

Le soir. Après une autre marche plus longue en général, autre retour devant cet écran. C’est alors que le travail vraiment sérieux commence. Grâce encore à WaveLab, j’ouvre chaque ficher fait de chaque face de mes vinyles de la journée. Je sépare chaque pièce que je sauvegarde en les identifiant par numéro de pièce et leur titre. Comme le tout est en wave, je les convertis en mp3 grâce à MusicMatch Jukebox. Une fois que j’en ai assez pour remplir un cd vierge de 700MB, je le grave. Par après, je prends chaque pochette des vinyles, je les numérise (scan) deux fois chacun, car elles sont trop larges pour être scannées en une seule passe. Grâce à PhotoStudio 5, je peux réunir les deux parties ensemble pour avoir la pochette complète. Je sauvegarde ces pochettes avec le nom de l’artiste. J’ouvre alors PrintShop CD Label Creator, j’importe chaque pochette, je sauvegarde le tout. J’imprime la pochette (face) avec ma HP sur un papier photo. Vous pouvez voir le résultat dans mon message précédent. Avec Cdr Label, je n’ai pas besoin de réécrire chaque titre pour la couverture arrière et intérieure du cd, il les lit et les classe. Cette fois-çi, j’imprime avec ma Canon sur un papier cartonné.

Durant le soirée, j’ouvre ma vieille télé que j’ai dans ma salle, j’ai un oreille sur ce qui s’y passe tout en travaillant sur mon PC. Je continue mes lectures sur le Web et toutes autres tâches connexes. Je décroche vers minuit.

Voilà une de mes journées typiques depuis ma retraite, il y a trois ans. Que le temps passe vite!

Les fins de semaine, je descends ici seulement le soir, sinon je crois que ma douce demanderait le divorce. Ceci résume bien ce qu’est une journée dans la vie de Eiffel.

C’est t’y pas d’la confidence ça???

P.S. : Depuis longtemps je rêve de m’acheter un Mac. Je suis littéralement tombé en amour avec le nouveau iMac 24 pouces. Mon rêve se réalisera-t-il un jour? Dans le moment, j’attends une entrée d’argent.

Explication : Que ceux qui peuvent comprendre comprennent, je ne veux pas m’étendre dans les détails. J’ai un fonds de pension privé qui ferme le 31 décembre. Comme il restera un surplus d’un montant, inconnu pour le moment;, celui-ci sera réparti d’après un calcul actuariel (compliqué, compliqué). Il paraît que je pourrais me retrouvrer avec pécule intéressant d’ici quelques temps. Histoire à suire comme le disait Rock & Belles Oreilles.

Je n’ai pas pris la peine de me relire, c’est ben trop long!

Cétacé!

Eiffel

samedi 16 décembre 2006

Lies

À tous les jours je visite plusieurs blogs de musique. Tout à l’heure, je suis tombé sur un où on propose en téléchargement un cd d’un vieux groupes des sixties : The Knickerbockers, groupe que j’ai découvert fin 1965, alors que j’étais pompiste à la station-service familiale. À l’époque, j’avais 17 ans et, bien sur, je tripais fort sur les Beatles.

Le vieux radio fonctionnait 24 heures par jour près de mon comptoir. Le soir, je pouvais capter des stations de radio américaines. Je me branchais alors sur WPTR ou WBZ, si je me souviens bien. J’écoutais les succès de l’heure et dès que j’entendais une nouveauté des Beatles, j’appelais un des mes meilleurs amis qui lui idolatrait les Beatles plus que moi et je lui disais de synthoniser un des ces postes pour entendre leur dernier succès.

Ce soir-là, une pièce vraiment énergique jouait et je crus reconnaître la voix de John Lennon, j’appellai immédiatement mon ami pour lui faire part de cette découverte. Lui aussi crut reconnaître John Lennon, mais nous ne pûmes savoir qu’elle était cette chanson, because on causait pas anglais évidemment.

Comme mon ami se tenait au courant (il possédait tous leurs albums) de tout ce que les Beatles sortaient de nouveau, il fit des recherches le lendemain et m’apprit que les Beatles n’avait rien mis de nouveau sur le marché.

Je ne me souviens plus comment, mais quelques temps plus tard, nous apprîmes que cette fameuse chanson s’appelait « Lies » et était interprétée par « The Knickerbockers ». Elle atteignit la 20e position du Billboard américain, fin 65 ou début 66 et elle est un des mes pièces fétiches. Le groupe connut deux autres succès mineurs, une 46e position avec « One Track Mind » et une 94e avec « High On Love ». Je vous fais grâce de leur discographie qui est somme toute plutôt mince.

http://www.megaupload.com/fr/?d=41QHUF15


Par la même occasion, voici la pochette de mon 114e cd contenant 19 vinyles. Un jour je posterai les 113 autres.
Eiffel

vendredi 15 décembre 2006

Histoire de la musique

Même, si je considère manquer de temps, je reviens à la charge de suite.

En créant ce blog, je voulais d’abord raconter l’ « HISTOIRE » de la musique selon Eiffel. Projet quelque peu ambitieux avouons-le. Par la suite, j’y ai renoncé et aujourd’hui j’y reviens. Branche-toi Eiffel.

Je plonge dans l’inconnu, sans palme, sans bonbonne d’air et sachant à peine nager.

Donc, je ne tiendrai pas tout de suite ma promesse de vous dévoiler l’identité de l’interprète de « Love Stealer ». Dégustez-la encore un peu, laissez mijoter la soupe ou encore foutez tout aux égouts si ce n’est pas dans vos eaux (goûts). Alors je vous fais languir un peu. Peut-être que quelqu’un aura-t-il reconnu ce chanteur à la voix « rodstewartesque », prêtez-moi le mot.

Revenons à mon mouton : la musique. C’est quoi de que cé? Où? Quand? Comment? Que de questions n’est-ce pas?

Si je pose ces questions; ai-je les réponses et seront-elles valades? Je dirai d’abord qu’il n’y probablement pas qu’une seule réponse, mais plutôt plusieurs et j’en donne une seule qui n’est même pas de moi. Elle provient de Wikipédia et elle correspond à ce que je peux en penser grosso mollo.

« La musique est ce qui n'est pas :

La musique c'est du son sans le sens. La musique ne signifie rien. Ce n'est donc pas un discours, ni une langue, ni un langage au sens de la linguistique (c'est-à-dire, avec une double articulation signifiant/signifié). Ce constat n'empêcha pas le développement dans les années 1970 d'une sémiologie de la musique chargée d'opérer les rapprochements et les différences entre musique(s) et langage(s).

La musique ce n'est pas du bruit : le bruit peut être une composante de la musique, comme il est une composante (essentielle) du son. Mais si l'Art des bruits théorisait l'introduction par les futuristes italiens des « bruits » de la vie quotidienne dans la création musicale (mouvement poursuivi par Varèse puis par la musique concrète –cf. infra–), le bruit est aussi synonyme de désordre non construit, quand la musique, elle, est une organisation, une composition, un choix délibéré… (cf. la définition du son musical). L'opposition faite entre ces deux mots porte généralement à confusion, et il faut donc se référer plutôt à la notion d'organisation.

La musique n'est pas une universalité : La musique n'a pas le même sens pour tous ceux qui l'entendent (cf. infra, définition sociale). Chaque individu fait appel à sa propre émotivité, à son imagination, à ses souvenirs… pour donner à la musique un sens qui lui paraît convenir. Certes, on peut constater, parmi des individus d'une même culture, que certains phénomènes (ex.: accélération du tempo) ont un effet quasiment similaire, mais tous les détails, toutes les subtilités d'une œuvre ou d'une improvisation ne sont pas ressentis de la même manière par des auditeurs de catégories sociales pourtant proches ».

Pour plus de détails, consultez :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique#D.C3.A9finition_th.C3.A9orique

Peut-on savoir où, quand, comment tout a commencé ? Le premier son émit dans le vide total fut selon moi, le fameux « Big Bang ». Imaginez le coup de pétard que cela dut être. Je suppose même que son écho se perpétue quelque part dans le vide intersidéral jusqu’à ce qu’elle frappe un mur pour nous revenir.

Entretemps, il y a eu tout ce qui s’en ai suivi. Quand le premier son harmonieux s’est-il fait entendre sur Terre ? S’il y a eu un spectateur à ce spectacle, qu’il se lève et nous le raconte.

Le vent soufflant à la surface de la terre, entre les branches des arbres ou s’engouffrant dans certaines cavernes, le bruit des vagues, le tonnerre, la pluie furent sûrement parmi les premiers « musiciens » à interpréter leurs œuvres.

Selon moi, les premiers êtres vivants à produire des sons harmonieux ne furent sûrement pas les dinosaures. J’ai vu le film « Jurassic Park » et les « Tiny Tim » de ce temps ne chantaient pas comme des « Caruso ». Comme les dinosaures n’existent plus aujourdh’hui, nous ne pouvons vérifier la véracité de leurs vocalises.

Que dire des oiseaux qui eux existent encore ? Ne parle-t-on pas du chant des oiseaux ? Je vote pour les oiseaux. Ils avaient même leur percussioniste : le picbois.

Je suppose que la « musicalité » de la pluie, du tonnerre, du vent, des vagues et des chants des oiseaux n’a pas dû tellement évoluer depuis la nuit des temps, ces échantillons doivent correspondre à ce que « Radio Nature » diffusait sur ses ondes à cette belle époque.
Je me suis encore étendu, c’est entendu, tel du beurre sur une bonne tranche de pain. Fin du spectacle

J’aimerais bien avoir vos opinions sur ce qu’est la musique pour vous, toi, l’autre, ami, concitoyen, mélomane.
Cela a-t-il du sens? Je ne te vous pose la question!


Eiffel

Coup de coeur

Pendant que j’écris ce message, je suis en train de transférer mon 2294ième vinyles en mp3.

Aujourd’hui, j’élabore sur un 2e coup de cœur. Excusez l’intro un peu longue, c’est comme ça.

J'ai pris le premier qui ne soit venu à l'esprit. La pièce s’intitule « Love Stealer ». Explication. Début des années 80, je suis assis dans ce même local où je tape ces mots dans le moment. J’écoute et j’enregistre de la musique (sur cassette à l’époque). Je suis branché sur CHOM-FM, station rock de Montréal, grâce au câble. Dès qu’une pièce attire mon attention, je démarre l’enregistreuse. Ce qui est justement le cas de la pièce ci-haut mentionnée. Après l’enregistrement, je n’ai pas compris ni le titre, ni le nom de l’interprète. Faut dire que CHOM est une radio anglophone et mon « english » était encore plus déficient dans ce temps-là. Les mots « love stealer » revenant souvent dans la chanson, j’ai intitulé cette chanson « Love Stealer ». Ce qui se révéla être le titre exact plus tard. J’inscrivais le nom des interprètes et le titre dans un cardex et sur le boîtier de mes cassettes à la main. Plus tard, ce travail sera facilité par l’arrivée des ordinateurs. Fin du premier épisode.

De nombreuses années plus tard, j’étais à fouiller dans un marché aux puces du coin. Une dame tenait un kiosque où s’entassait des dizaines de milliers de disques (vinyles évidemement). À tous les dimanches depuis un certain temps, je faisais un pélérinage à cet endroit (après la messe... c'est pas une farce) . Les disques se vendaient 1,00$ chacun, mais si tu en achetais 7, tu payais 5,00$ pour les 7. C’était vraiment un bon « deal ». Je fouille, je fouille et je fouille… J’achetais de tout et souvent mes fameux I.I. (illustres inconnus). Quand une pochette m’intéressait, je la prenais et vérifiais les pièces qui étaient inscrites à l’endos.

Un jour, je tombe sur un disque d’un groupe appelé « The Scooters » et je constate que le disque contenait une pièce intitulée « Love Stealer ». Ce dimanche-là, ce disque fit partie de mon lot. À tous les soirs, je descendais dans mon local de musique pour écouter mes acquisitions. J’avais hâte de vérifier si « The Scooters » était ceux qui interprétaient cette fameuse pièce.

Eh bien non! Mais c’était la même chanson, moins intéressante que celle que j’aimais. Quelques années plus tard, toujours à la même place, je trouve un autre disque contenant la pièce « Love Stealer ». Celle-ci était la bonne.

Je ne vous dévoile pas le nom de l’interprète. Il a fait partie d’un groupe qui connut un succès au début des années 70. Téléchargez les deux pièces et faites votre choix : à savoir quel est mon coup de cœur.

A mon prochain message, je vous dévoilerai son identité. Un indice de plus, il fit partie d’un autre groupe « Fast Forward » qui réalisa un seul disque en 1984 qui n’obtint aucun succès ne serait-ce que d’estime. Bruce Fairbairn, Bob Rock et Jim Valance participèrent à ce groupe aussi. Je n’étends un peu trop. Stop it icitte!

http://rapidshare.com/files/7594647/LoveStealer.rar


Eiffel

vendredi 8 décembre 2006

Home Sweet Home

Je fais un premier essai. J'ai trouvé un moyen de mettre un mp3 en téléchargement. Si vous connaissez "RapidShare" vous saurez comment faire; vous devriez comprendre assez facilement le fonctionnement; sinon, envoyez-moi un commentaire ou un courriel à: eiffel50@oricom.ca

Il s’agit d’une pièce d’un groupe anglais : HOME, méconnu du commun des mortels. Le disque est sorti en 1973, je l’ai acheté le 5 juillet 1982 pour 1,50$. Sans vous en faire la critique, c’est un de mes disques préférés. La pièce s’intitule « Schooldays ». J’ai rippé ce vinyle et il est de très bonne qualité.

http://rapidshare.com/files/6619775/Home_-_Schooldays.mp3

Bonne écoute!
Eiffel

Solitude

Pas de nouveau sous ce soleil de décembre. Je me demande pourquoi j'ai créé ce blogue puisque que je ne trouve pas le temps de m'en occuper. Pas le temps non plus, de me renseigner pour savoir comment poster des mp3.

J'aimerais aussi savoir si quelqu'un me lit. Siou plaît un petit signe de vie.

Eiffel

lundi 4 décembre 2006

Présentation

Présentation

Mon surnom sera Eiffel pour mon blog. Non, je ne suis pas français, mais bien québécois, j’habite l’arrondissement de Beauport dans la ville de Québec dans le « plus meilleur pays du monde », le Canada, comme le disait si bien un de nos anciens premiers ministres à la bouche toute croche. Je vous ferai grâce de son nom. Eiffel vient du fait que les initiales de mon vrai nom son F.L. Le jeu de mot était facile.

J’ai 59 ans. Y a pas d’âge pour blogger (sans blog, pardon sans blague). Je suis retraité depuis plus de 3 ans. J’ai été un genre de gratte-papier à la commission scolaire de Québec pendant 33 ans. J’arrête là ma bio.

Je commence ce blog pour faire connaître la musique que j’aime en essayant de sortir des sentiers battus. Vous faire entendre des I.I., parfois (illustres inconnus, de moi en tous cas avant que je fasse leurs connaissances), mes coups de cœur pour certains disques, chansons ou pièces instrumentales.

J’aimerais bien pouvoir publier mon blog en anglais aussi, mais ma maîtrise de cette langue, même écrite, m’est encore pénible. Je ne dis pas que je ne m’y essayerai pas un jour.
Je publie ça, pis je vous reviens un autre jour, car il faudrait bien que je sache comment vous permettre d’écouter les pièces que j’aimerais vous faire connaître.

Bonhomme



Un autre petit test afin de savoir comment publier une image dans mon blog. On voit ici mon vieux chien Bonhomme, âge de 11 ans. Il est encore en pleine forme. Il fait son heure de marche presqu'à tous les jours. Cela dépend uniquement de son maître qui traîne un peu de la patte certains jours.

Suite

Bon, j'ai de la grosse difficulté à comprendre comment fonctionne mon blog. Je suis encore en phase de "testage" (quel beau mot). Je publie pour vérifier si cela fonctionne.

mercredi 29 novembre 2006

Premiers pas

Bon disons que ceci est tout simplement un test. J'essaie de n'initier aux joies du blog. J'espère que cela ne me donneras pas un mal de blog.

Eiffel50