dimanche 9 octobre 2011

Salmigondis


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Avez-vous déjà essayé d’écrire de droite à gauche en lettres attachées?  Même sur un clavier d’ordinateur la chose est loin d’être évidente.

Voici une question pâte filosophique :  Rien du tout vaut-il mieux que pas pantoute?

Dans le moment je suis plongé dans la lecture de « L’histoire de tout… ou presque » de Bill Bryson.  La meilleure manière de le résumer est de vous faire lire la critque suivante :

« Posez une question, Bryson y répond dans ce livre clair, synthétique, vivant, qui conjugue avec bonheur science et sourire. Vous y apprendrez sans efforts par quels hasards, traits de génie, intuitions, déductions, expérimentations, débats, les hommes en sont arrivés à connaître le monde tel qu'ils le connaissent aujourd'hui. Tout y est (ou presque) de l'histoire des sciences, de notre planète et de l'univers.

Un merveilleux compagnon, dont la lecture devrait être recommandée à tous les collégiens... et à leurs parents !

Ce livre a reçu aux États-Unis, en 2004, le prestigieux prix Aventis du meilleur livre de vulgarisation scientifique et, en 2005, le prix Descartes pour la communication ».  (Source : Babelio)

Pour un profane comme moi, ce livre jette de nombreuses éclaircissements sur ma compréhension de l’Univers, le cosmos et notre minuscule planète, même si j’en perds mon latin (que je cause pas) au travers les atomes, électrons, neutrons, protons, poltrons, croutons, étron, etc...  Ça me fait chi…… aller.

Revenons à mon autre dada : la musique sauce groupes québécois.  Je farfouille un peu moins aux puces mais il me reste encore quelques bonnes galettes à vous proposer et la pêche est assez sur le net. 

Je ne m’éloigne pas du milieu scientifique en vous présentant les Atomes, groupe de St-Jérome formé en 1964.  C’est en 1966, qu’ils nous font grâce d’un premier disque suivi de cinq autres entre 1966 et 1968.  C’est un des rares groupes québécois qui a eu le bonheur de graver un album en 1967.

Les Atomes – On ne vit qu’une fois

Cette chanson est pigée dans le répertoire d’un groupe mineur american, The Staccatos.

The Staccatos – You Only Die Once

Un groupe de Verdun, les Rats.  Formé en 1963, dissout en 1968.  Leur côté original : leurs guitares avaient la forme d’un rat.  Ils ont gravé trois 45 tours, tous sortis en 1965.

Les Rats – Fiche-moi la paix

Les Shadols, groupe de Montréal formé en 1964 en pleine Beatlemania, trois 45 tours à leur actif.  Aucun d’eux ne figure aux palmarès de l’époque.  Devant ce succès « monstre », ils deviennent les Monstres en 1966 qui sortira deux 45 tours avec le même succès que les Shadols.  Mais un nom ressortira de ces deux groupes : Marc Hamilton.  Qui ne connait pas son méga-succès : « Comme j’ai toujours envie d’aimer ».  Pour en finir avec Marc Hamilton, suite à la dissolution des Monstres en 1967, il formera, en 1968, un autre groupe, les Caïds le temps d’un 45 tours : à ne pas confondre avec les Caïds de Granby, créé en 1964 qui compte dans sa discographie un unique 45 tours.

Les Shadols – Dans le vent
Les Monstres – Je veux une réponse
Les Caïds – Je voyais ton visage dans l’eau
Les Caïds (Granby) -  Te souviens-tu des vacances?

Un groupe du Nouveau-Brunswick avec qui on a fait connaissance en 2008 : les Marogays.  Je crois  que j’avais oublié de mentionner que c’était Jean Lapointe des Jérolas qui les avait découverts.  Le groupe s’est réuni en 2010 et j’ai cru savoir qu’il aurait donné quelques spectacles l’été dernier dans leur coin de pays.

Les Marogays – Si tu m’aimais

Tout ce que je peux dire sur les Phénomènes, c’est que le groupe est originaire de la Beauce et qu’ils ont une volumineuse discographie de deux 45 tours.

Les Phénomènes – Tu ne me croiras jamais

La naissance des Classels remonte en 1960 alors qu’ils s’appelent les Special Tones pour devenir les Classels en 1964 et se séparer en 1971.  En 1984, tous les membres du groupe apparaissent à une émission de télé  (Laquelle?  Sais pas).  J’ai tout simplement « syphonné » la trame sonore du pot-pourri d’une durée de près de 6 minutes.

Les Classels – Pot-pourri TV (1984)

Les Gants Noirs ont convaincu les disques Niagara de leur faire enregistrer un microsillon en 1966 sur lequel ils s’attaquent à la chanson « Mes mains sur tes hanches » d’Adamo.

Les Gants Noirs – Mes mains sur tes hanches

Si l’homme descend du singe, d’où descendent les Gorilles et leur unique disque de 1966.

Les Gorilles – Le gorille du coin

Les Intrigantes vous vous en doutez sans doute est un groupe féminin dont les membres provenaient de Québec et Lévis.  En consultant « La Merveilleuse Époque des Groupes Québécois des Années 60 », le titre « La justice » n’apparaît pas dans leur discographie.  Cette chanson est une version d’un des plus grands succès de Jefferson Airplane, icône du psychédélisme américain, « White Rabbit » (8e place au Billboard en 1967).

Les Intrigantes – La justice
Jefferson Airplane – White Rabbit

J’épilogue avec la portion disco.  Une chanson extraite du cd (0,50$) de la trame sonore d’un film québécois : «  Danny in the sky », réalisé par Denis Langlois en 2001 :  Reprise de Daddy Cool de Boney M par le groupe QRN.

QRN – Daddy Cool
Boney M – Daddy Cool

Un petit fichier vous attend drette icitte.

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Cross my fingers


Je me prépare à publier un autre message très prochainement, mais avant je voudrais régler mes problèmes de mise en page de mon blog.  Comme je n’y ai pas touché depuis un bon « boutte », je crains de tout « phoquer » mon affaire et qu’il advienne que mon blog disparaisse.

Cross your fingers (version anglaise de « Masturbez vos doigts ».

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